Et si vous manquiez le chainon manquant ?

Je suis rentrée de Portland, où j’étais allée passer la semaine de Thanks Giving.
En tenant dans mes mains, mon ticket d’embarquement, je me suis demandée, si comme de nombreux papiers thermo-imprimés, celui-ci contenaient des BPA : savez-vous qu’ils pénètrent très rapidement par la peau, en cas de contact ?
En buvant l’eau de l’avion, je me suis aussi demandée si le gobelet en plastique contenait aussi des BPA.

vue d’avion, à travers les Rocheuses

Et enfin, en prenant, le Ubber me ramenant de l’aéroport à chez moi, j’ai été frappée par le parfum persistant présent dans la voiture. Il y avait suspendu au rétroviseur, une petit sapin. Je ne pouvais rien y faire, et j’ai subit. Pas facile d’aborder un sujet comme celui-ci avec le conducteur qui préférait parler de la neige annoncée pour demain.
En arrivant chez moi, d’ailleurs ce parfum ne m’a pas quitté, marquant bien la présence de Phtalates, encore autorisés aux Etats-Unis.
Mais la première chose que j’ai faite, c’est d’ouvrir grand les fenêtres pour profiter des derniers rayons de soleil et surtout aérer la maison qui avait été confinée pendant la semaine.

Parfois, on ne peut pas tout contrôler, et il faut l’accepter.
Parfois, c’est dur de connaitre tout cela et de faire comme si de rien n’était !

La plupart des gens n’ont pas conscience de cette toxicité.
Et le corps médicale aussi, n’est pas toujours avisé. Les médecins, se réfugieront d’ailleurs derrière le vieux adage : c’est la dose qui créée la toxicité.

Même si c’est vrai pour certains toxiques, cela ne l’est pas pour les perturbateurs endocriniens qui agissent sur le long terme à des doses très faibles.

De plus, la relation entre cette exposition et les effets engendrés, n’est pas linéaire et est plutôt imprédictible, vu le cocktail de molécules auquel nous sommes soumis.
Pourtant les maladies chroniques, les maladies dégénératives, mais aussi les maladies auto-immunes, sont en croissance exponentielle. On se sent impuissant face à cette sourde menace, on se sent aussi impuissant quand la maladie est là.

Il existe une sorte de fatalité aussi un manque d’information à tous les niveaux.

Et pourtant certains disent que le chainon manquant est certainement là ? 

Vue du port de la ville de Seattle

C’est une science toute nouvelle.

Normale ! cette menace est aussi très récente. Dans l’histoire de l’humanité, jamais l’homme n’a été autant vulnérable. Bien sûr il y avait les épidémies, le manque d’hygiène ou le manque de moyens médicaux par méconnaissance. Et nous avons pu dépasser cela.
Mais, jamais, nous n’avions été soumis à une telle toxicité, entrainant des bouleversements hormonaux, ou génétiques de cette ampleur.

Changer ses habitudes pour faire la différence !

C’est un changement en profondeur que je vous propose de faire, dans votre quotidien, pour changer votre façon d’appréhender ce sujet, changer vos habitudes et prendre la meilleure décision pour vous et votre famille :

C’est aussi une façon d’en parler que je vous propose d’adopter, si vous êtes un naturopathe, une sage-femme ou un médecin.

Faire bouger les consciences n’est pas facile. Avec mon programme sur 4 semaines, vous apprenez à faire la part des choses et changer ce que vous pouvez changer pour moins vous soucier de ce que vous ne pouvez pas changer !

Alors êtes-vous prêt(e) à en prendre conscience de ces changements et ainsi agir ?

Je vous propose un tout nouveau programme qui vous permettra de voir où vous pouvez agir et ainsi diminuer cette charge toxique qui nous envahi partout. Parce que OUI, on peut modifier notre environnement proche en agissant concrètement !

Pour aller plus loin

 

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